S.A.S Le Prince Malko Linge est orphelin : l'écrivain Gérard de Villiers est décédé hier à l’âge de 83 ans.
Romans de gare par excellence, les SAS, vendu à plus de 100.000 exemplaires sont un mélange de voyage, d’actualité, d’espionnage, de violence et de sexe plutôt hard.
Malgré son immense succès populaire, Gérard de Villiers était très critiqué, réactionnaire, antisémite, sexiste, et surtout pas assez bon écrivain. Mais son excellente connaissance du monde géopolitique a fait que plusieurs de ses livres se sont révélés prémonitoires sur certain conflits par le monde.
Pour le coup, là c’est plus un hommage à un homme, qui a marqué mon esprit de jeune homme qu’un souvenir d’enfance.
J’ai beaucoup lu de SAS pendant mon service militaire particulièrement pendant les trajets en train. J’en garde un souvenir d’une lecture simple mais distrayant, sans prétention.
Gérard de Villiers.
- Tipoune
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Re: Gérard de Villiers.
Pas assez bon écrivain, je ne sais pas car je n'ai jamais lu de SAS, mais je sais que ce sont des livres qu'on trouve partout et tellement nombreux !!! Il a posé la plume, maintenant, qu'il repose en paix.
Ils vécurent enfants et firent beaucoup d'heureux !!
- Tommy
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Re: Gérard de Villiers.
Effectivement, je n'ai appris que sur le tard la teneur du personnage, et son caractère (apparemment) machiste et réactionnaire.
Peu importe, SAS a bercé la fin de mon adolescence, et mon âge adulte, même si ça fait au moins 10 ans que je n'ai pas lu une de ses aventures.
Quand j'avais 17/18 ans, j'avais un super pote qui était dingue des SAS (en vacances, il en lisait un par jour), moi j'étais beaucoup plus San Antonio. Mais il m'en parlait avec tellement d'enthousiasme que j'y ai aussi succombé, et même si je préférais infiniment plus le personnage de Frédéric Dard, un petit SAS de temps en temps me faisait bien plaisir.
Sans parler de la connaissance absolument hors paire du contexte géopolitique, et ses compétences en matière d'espionnage et de renseignement, qui laissait toute la profession admirative.
RIP Msieur De Villiers
Peu importe, SAS a bercé la fin de mon adolescence, et mon âge adulte, même si ça fait au moins 10 ans que je n'ai pas lu une de ses aventures.
Quand j'avais 17/18 ans, j'avais un super pote qui était dingue des SAS (en vacances, il en lisait un par jour), moi j'étais beaucoup plus San Antonio. Mais il m'en parlait avec tellement d'enthousiasme que j'y ai aussi succombé, et même si je préférais infiniment plus le personnage de Frédéric Dard, un petit SAS de temps en temps me faisait bien plaisir.
Sans parler de la connaissance absolument hors paire du contexte géopolitique, et ses compétences en matière d'espionnage et de renseignement, qui laissait toute la profession admirative.
RIP Msieur De Villiers
Au banquet de l'amitié, chacun peut trouver sa pitance ... Mais au festin des loups, il n'y a pas de dessert ... (Professeur Procyon)
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